Jerhyn est un PNJ de Lut Gholein. Il est le jeune seigneur de Lut Gholein, et le fils d'un sultan. Suivant les conseils de Drognan et de Fara, il fit confiance aux héros qui arrivèrent de l'ouest et les accueilli dans sa cité portuaire. Les habitants semblent généralement satisfaits de son règne, mais le remettent souvent en cause pour sa capacité à diriger. Toutefois, beaucoup pensent qu'il deviendra un jour un grand sultan.
Au début de l'acte II, il cache aux héros ainsi qu'à tous les habitants que son palais est envahi par les démons. Un sorcier Vizjerei anonyme, connu sous le nom de Invocateur, découvrit l'entrée du Sanctuaire des arcanes de Horazon, qui se situait sous le palais, et l'avait secrètement ouvert, laissant la liberté à tous les démons qui s'y trouvaient de pénétrer dans le palais. Ils massacrèrent les filles de la ville, qui avaient trouvé refuge dans le palais, sous la protection des gardes du palais, qui furent tués eux aussi. Cette bataille perdue d'avance était la raison pour laquelle Jerhyn avait embauché Greiz et ses mercenaires pour protéger la ville. Ainsi, jusqu'à ce que Jerhyn fasse confiance aux héros étrangers, le palais resta fermé.
Interactions[]
Aucune.
Paroles[]
- Salutations
« Salut. »
« Heureux de vous voir. »
« Pardon ? »
« Bonjour à vous. »
« Bonsoir. »
« Hmm… Précisez vos intentions. »
« Ahh… Notre héros est de retour. » (au retour de l’Acte III seulement)
- Introduction
« Heureux de vous voir, honorable voyageur ! Je suis Jerhyn, seigneur de Lut Gholein, et vous souhaite la bienvenue dans ma bonne cité portuaire. Je suis heureux de voir que les caravanes peuvent à nouveau circuler. Depuis quelques temps, nous sommes assiégés par des forces du mal que je ne peux identifier. C’est étrange… Tout a commencé avec l’arrivée du Rôdeur qui cherchait le tombeau de Tal Rasha. Nul ne sait précisément où Tal Rasha, Gardien de Baal, a pu être enterré, mais c’est sans aucun doute en plein cœur du désert. Désormais mon peuple parle de morts sortant de leur tombe, et d’horribles créatures hantant les dunes à la nuit tombée. J’ai moi-même été témoin de choses que je ne peux expliquer. J’ai ordonné la fermeture du port et le mouillage de tous les navires marchands jusqu’à ce que la ville soit à nouveau en sécurité. Atma, l’aubergiste, a une mission importante pour vous. Allez la voir sans plus tarder ; vous la trouverez de l’autre côté de la ville. Il me faut maintenant retourner au palais. Veuillez m’excuser de ne pouvoir vous y inviter. Il y règne un certain désordre. »
- Autres messages
« Pour le commerce de la magie, voyez Drognan et Lysander. Drognan est l’homme le plus avisé que je connaisse : il n’a pas son pareil dans les sciences occultes. Ce pauvre Lysander est presque sourd, mais il est versé dans l’art des potions. Pour retourner vers l’ouest, voyez Warriv, que vous connaissez déjà. Notre Fara excelle dans la fabrication des armures, mais aussi dans le soin des blessures. Elzix, l’aubergiste, peut lui aussi avoir des objets magiques à négocier. Quant à Greiz, le capitaine des mercenaires engagés pour garder les portes de Lut Gholein, il maintient l’ordre dans la cité. Il y a d’autres personnes de qualités ; je suis sûr que vous les rencontrerez. Il suffit de se promener… »
« La femme Atma a peut-être des rumeurs intéressantes à vous confier ; elle ne s’éloigne jamais de sa taverne. »
« Bien qu’il ait un lourd passé de bandit, j’ai autorisé Elzix à prendre le contrôle de l’Auberge de la Pluie. Il s’est conduit de façon fort civilisée depuis lors. »
« Meshif est un homme respectable, mais je crains qu’il perde patience si je ne l’autorise pas à larguer les amarres. Je n’ose lui avouer ce qui se trame réellement dans cette ville. »
« A votre arrivée, la caravane de Warriv avait accumulé un long retard. Avec tout ce qui se passe au-dehors, je suis surpris qu’il ait réussi à passer. »
« Tous ceux qui m’aideront dans la défense de Lut Gholein auront mon soutien. Passage vers l’Orient, fortune, gloire : rien n’est trop beau pour ceux qui viennent au secours de ma cité. »
« Vous semblez fort capable, et je ne cherche point à vous offenser en disant qu’il me faut choisir mes confidents avec soin. Je ne veux pas que des rumeurs sèment la panique ! »